Mémoire de la ligne

La ligne 39 - Place Moncey—Gennevilliers - 3/6

Marc André Dubout

Le 3 mai 1904, le Directeur de la Compagnie écrit au Maire de Gennevilliers pour l'informer que des instructions ont été données aux wattmen de la Compagnie pour que les jeudis et dimanches, ils ralentissent la marche de leur voiture et qu'ils portent toute leur attention à la traversée de la rue Amélie
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Le 22 mai 1904, le Maire de Gennevilliers écrit au Directeur de la Compagnie pour l'informer que la nouvelle école de garçons de Gennevilliers centre ouvrira ses portes le mardi 24 mai et lui recommande de donner des instructions aux wattmen pour qu'ils redoublent de précaution dans la rue de Paris et à proximité de l'école.
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Le 24 mai 1904, réponse du Directeur de la Compagnie au Maire de Gennevilliers selon sa demande de prudence. Il lui demande de veiller à ce que les instituteurs portent attention à ce que l'entrée et la sortie de l'école se fassent avec ordre et  à empêcher les enfants de courir après le tramway comme cela se fait malheureusement trop souvent au risque des accidents les plus graves.
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Le 23 juillet 1904, suite à une lettre du Maire de Gennevilliers concernant une infraction commise par un wattman, le Directeur de la Compagnie l'informe que ce dernier a subi une sanction et que des instructions ont été données pour que ce fait ne se reproduise plus.
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Le 25 juillet 1904, Le Directeur de la Compagnie informe le Maire de Gennevilliers qu'à partir de maintenant la Compagnie des T.P.D.S. assurera le service de l'exploitation d'Asnières et de St Denis dont la Compagnie Générale de Traction avait assumé jusqu'alors la charge.
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Le 25 mars 1905, le Directeur de la Compagnie envoie au Maire de Gennevilliers la carte qu'il a demandée pour la Porteuse de dépêche de la Commune.
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Le 19 mai 1905, par cette lettre, le Directeur de la Compagnie autorise les deux facteurs de Gennevilliers à monter en franchise dans les voitures entre Gennevilliers et Asnières et pas plus d'un par voiture à condition qu'ils soient en uniforme et munis de leur boîte comme cela se fait sur les autres lignes du réseau.
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Le 11 décembre 1905, un habitant de Gennevilliers écrit au Maire et au Conseil municipal pour porter à leur connaissance le fait suivant et qui intéresse les habitants de Gennevilliers.
Hier, dimanche 10 décembre, un tramway parti de la Madeleine à destination de Gennevilliers est arrivé à 6 heures et demie à la station d'Asnières place Voltaire avec du retard.
À cette station, le contrôleur prétextant que le tramway avait du retard, a fait descendre les voyageurs qui avaient déjà payé leur place, pour leur faire prendre le tramway suivant alors que cette voiture était en bon état de fonctionnement.
Le signataire demande au Maire qu'il puisse prendre en main les intérêts des habitants de la ville fortement lésés en la circonstance. En effet, en plus du retard déjà subi pour une cause ignorée, les voyageurs en ont subi une autre en attendant à la station d'Asnières-Voltaire le tramway suivant. Il eut pu se produire que le tramway suivant venant de Paris fut complété par une partie des voyageurs qu'on avait faits descendre et d'autres voyageurs qui, faute de places, eussent du attendre un autre tramway (2ème tramway suivant).
D'autre part et comme conséquence, une voiture n'allant pas à Gennevilliers, un départ de Gennevilliers n'a pu avoir lieu et des personnes ont pu attendre 39 minutes avant de pouvoir partir.
Le signataire demande au Maire et au Conseil municipal d'intervenir auprès de la Compagnie dans l'intérêt des habitants de Gennevilliers.

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La réorganisation de 1a Compagnie des Tramways Mécaniques des Environs de Paris de 1906

Le 13 janvier 1906, prolongement jusqu'à Clichy du chemin de fer métropolitain.
Le Maire de Gennevilliers fait part au Conseil que dans sa séance du 24 décembre, le Conseil général a renvoyé avec un avis favorable à la Commission du Métropolitain une proposition de M. Marquez, tendant à prolonger la ligne métropolitaine Nord-Sud de la Fourche à la porte de Clichy.
Le Maire rappelle que le précédent Conseil municipal s'était déjà préoccupé de cette question dans sa séance du 25 juin 1901 où il avait émis un vœu tendant au prolongement de la ligne du Parc Monceau jusqu'à la porte d'Asnières en empruntant le boulevard Malsherbes, puis celle du 18 décembre 1902 où il demandait le prolongement jusqu'à la porte de Clichy de cette ligne et aussi de la ligne Nord-Sud dont le point terminus est la porte Saintt Ouen.
Il estime qu'il conviendrait de rappeler ces deux délibérations et de les joindre au projet de vœu de M. Marquez, Conseiller général de Clichy, de façon à l'appuyer auprès du Conseil général.
Un conseiller dit que le Directeur du Métropolitain est l'auteur d'un projet de prolongement de la ligne métropolitaine jusqu'à la porte de Clichy et cela malgré les difficultés qu'offre le voisinage de l'égout collecteur établi dans l'avenue de Clichy.
Le Maire estime qu'il serait sage, afin de ne pas diviser les efforts, d'appuyer le vœu de M. Marquez tout en rappelant les précédentes délibérations prises par le Conseil municipal sur le même sujet, afin de montrer l'intérêt qu'attache depuis longtemps la population au prolongement d'une ligne du métropolitain jusqu'à la porte de Clichy.
Le Conseil municipal après en avoir délibéré, 
- considérant tout l'intérêt que présenterait pour la nombreuse population de Clichy et pour les populations d'Asnières et de Gennevilliers, le prolongement de la ligne métropolitaine Nord-Sud de La Fourche à la porte de Clichy,
- considérant que la ville de Clichy est incomplètement pourvue de moyens de transports rapides, 
- rappelant les délibérations antérieures, notamment celles des 25 juin 1901 et 18 décembre 1902 ; 
- émet le vœu que le Conseil général veuille bien prendre en considération la proposition déposée par M. Marquez tendant au prolongement de la ligne métropolitaine Nord-Sud de La Fourche à la porte de Clichy.
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Le 16 janvier 1906, M. Marquez, Conseiller général de Clichy écrit à son collègue de Gennevilliers qu'il a fait adopter par le Conseil général, un projet de prolongation de la ligne métropolitaine Nord-Sud de la Fourche à la porte de Clichy.
Il l'invite à assister à une conférence à laquelle assisteront les Maires de Clichy, d'Asnières et l'Ingénieur de chef
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Le Maire de Gennevilliers répond qu'il se fera représenté par l'Agent-voyer de la Municipalité
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Le 21 février 1906, un Conseiller général écrit au Maire de Gennevilliers pour l'assurer qu'il poursuit activement, avec le Directeur du métropolitain Nord-Sud, le prolongement fort intéressant pour Gennevilliers et Clichy.
L'avant-projet est terminé et le Directeur du métropolitain serait très heureux de lui communiquer.

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Le 17 mars 1906, le Maire de Clichy écrit à son collègue de Gennevilliers pour l'informer que dans sa séance du 13 janvier dernier, le Conseil municipal a émis un vœu tendant à appuyer auprès du Conseil municipal de Paris, la proposition déposée par le Conseiller général Marquez pour le prolongement de la ligne métropolitaine Nord-Sud de la Fourche à la porte de Clichy.
Comme cette question intéresse aussi les habitants de Gennevilliers qui empruntent le tramway Gennevilliers—Madeleine, il lui transmet cette délibération qui intéressera le Conseil municipal de Gennevilliers.

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Le 19 avril 1906, demande de l'établissement d'un garage au Gros Orme.
Brouillon du Conseil municipal allant dans de sens.
La distance entre le garage situé rue Voisin et celui situé en face du cimetière ne permet pas aux conducteurs mécaniciens de tramway de voir si une voiture est engagée sur la voie unique, que de ce fait il résulte une perte de temps pour le service, sans compter les accidents qui sont déjà arrivés dans le brouillard, la Commission, vu l'exposé de Monsieur. B. émet le vœu que la Cie des Tramways de Paris et du Département de la Seine (T.P.D.S.) établisse un garage, avenue de Paris, en face du Gros Orme afin de donner satisfaction aux habitants de Gennevilliers.

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Le 12 mai 1906, le Maire de Gennevilliers demande au Directeur de la Compagnie de renouveler la carte de circulation sur le territoire de Gennevilliers jusqu'à la Mairie d'Asnières pour un télégraphe communal.
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Le 14 mai 1906, le Conseiller général Marquez écrit au Maire de Gennevilliers pour l'assurer que le Conseil municipal a fait mettre à l'enquête par les soins de l'administration, le prolongement de la ligne N°4 jusqu'à la porte Clichy, par le boulevard Bessières et la rue de la Jacquerie pour se raccorder avec la ligne principale aux environs de la porte de Clignancourt.
Ce projet donnera satisfaction aux populations qui chaque jour se rendent à Paris pour leur travail, de préférence dans le quartier de la gare St Lazare, de la Madeleine, ou de l'Opéra et du Palais Royal.
S'il est de cet avis, il lui demande de faire signer la pétition par les habitants de Gennevilliers et de la lui renvoyer avec les signatures légitimées avant le 24, l'enquête étant close le 25.
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Le 18 mai 1906, un Conseiller général écrit au Maire de Gennevilliers pour l'assurer qu'il a remis la délibération relative à l'établissement d'un garage au "Gros Orme" à Monsieur (illisible) qui a promis de faire le nécessaire auprès de la Compagnie pour que cette juste satisfaction soit donnée.
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Le 24 août 1906, Le Directeur du Chemin de fer Électrique Souterrain Nord-Sud de Paris écrit au Préfet qu'une étude complémentaire a fait ressortir que la présence du grand collecteur général de Clichy n'empêchait pas d'établir le terminus de l'embranchement à la porte même avec boucle de raccordement dans les terrains militaires.
Par une lettre du 9 mai de cette année, restée sans suite, il l'a prié de la soumette à l'examen des services municipaux et de la Commission du Métropolitain.
En ce moment les travaux de la ligne gare St Lazare—Porte de St Ouen,
adjugés le 17 juillet dernier vont être entrepris et la Compagnie a besoin de connaître les dispositions à prendre auprès l'Administration, au voisinage de la Fourche, où convergent les avenues de St Ouen et de Clichy et l'embranchement vers la porte de Clichy.
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Le 21 septembre 1906, 
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Le 22 septembre 1906, Le Directeur du Chemin de fer Électrique Souterrain Nord-Sud de Paris transmet au Maire de Gennevilliers, à titre de renseignement la lettre qu'il a adressée au Préfet de la Seine en vue de provoquer une prompte décision en ce qui concerne l'embranchement de La Fourche à la Porte de Clichy.
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Le 31 8bre 1906, brouillons de lettres adressées au Directeur des T.P.D.S. et des Tramways Nord pour solliciter des franchises pour du personnel municipal (garde-champêtre).
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Le 6 décembre 1906, projet d'une ligne électrique de la Fourche à porte Clichy (brouillon).
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Le 1er février 1907, le Directeur de la Compagnie écrit au Maire de Gennevilliers pour lui dire que le Conseil d'Administration de la Compagnie a arrêté, lors de sa dernière séance, la liste des cartes de libre circulation et qu'il n'est plus possible de donner une suite favorable à la demande concernant l'inspecteur de la salubrité de la commune.
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Le 8 février 1907, M. Lucas, appariteur de la Ville de Gennevilliers, dûment assermenté et revêtu des insignes caractéristiques de la fonction, à la demande de M. le Maire, rapporte ce qui suit.
Chargé par M. le Maire de vérifier les heures de départ et d'arrivée des tramways de la ligne Madeleine—Gennevilliers pendant deux jours consécutifs, il a observé fidèlement le roulement et a constaté ce qui suit (voir détail des relevés). Ce tableau est un véritable horaire.

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Idem
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Le 21 février 1907, Protestation contre le mauvais fonctionnement du service de la ligne Madeleine—Gennevilliers.
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Le 21 février 1907, le Conseil municipal émet des plaintes réellement justifiées des habitants de Gennevilliers contre le service du tramway St Cloud—Pierrefitte, service irrégulier, personnel inexpérimenté, voitures mal tenues.
Gennevilliers—Madeleine : retards, mauvaises odeurs.

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Le 3 juin 1907, le Préfet écrit au Maire de Gennevilliers suite à la délibération du 21 février qu'il lui a transmise et par laquelle le Conseil municipal signale la défectuosité du matériel roulant en circulation sur les lignes de Gennevilliers—Madeleine et de St Cloud—Pierrefitte, ainsi que les mauvais services et les irrégularités qui résultent de cet état de choses.
Il lui fait connaître, à la suite de l'enquête à laquelle il a fait procéder par le service du Contrôle des tramways, que des améliorations ont été apportées au matériel de la ligne St Cloud—Pierrefitte et que depuis le 14 mars dernier le service s'effectuera d'une manière aussi satisfaisante que possible.
Il est toutefois impossible d'empêcher et de prévoir les incidents de toute nature qui peuvent se produire à chaque instant sur une ligne qui emprunte des rues étroites et encombrées sur un parcours à voie unique de près de 21 kilomètres.
En ce qui concerne la ligne Gennevilliers—Madeleine, le service a été en effet des plus défectueux pendant la saison d'hiver 1906-07.
Les automotrices fatiguées de cette ligne, fatiguées par un service intensif et hors de proportion avec la puissance et l'état de leurs moteurs ont donné lieu à des avaries qui provoquaient elle-mêmes des retards, des détresses et par suite de suppressions totales ou partielles de courses.
Les batteries d'accumulateurs visitées trop rarement donnaient souvent lieu à des dégagements de vapeur acides susceptibles d'incommoder les voyageurs.
Mise en demeure d'avoir à remédier à cet état de choses, la Compagnie qui ne disposait que d'un nombre trop restreint de voitures, a dû réduire ses horaires dans une proportion assez considérable, afin de rendre disponibles pour les réparations nécessaires, un certain nombre de ses voitures.

Dans ces conditions, l'état du matériel a pu être sensiblement amélioré et depuis le 15 mai dernier, la Compagnie a pu reprendre, à titre provisoire et d'essai, le service ordinaire de la ligne qui comporte un départ toutes les 1/4 d'heure entre Gennevilliers et la Madeleine et un départ toutes les 7 minutes et 1/2 entre la place Voltaire à Asnières et la Madeleine.
Il est à craindre que cet horaire ne puisse être suivi pendant longtemps d'une façon régulière, en raison de la défectuosité des moteurs qui auraient besoin d'être entièrement renouvelés.
Mais la Compagnie se refuse à engager actuellement des dépenses relativement considérables avant de connaître le résultat de l'étude entreprise par le Conseil général et l'Administration, relativement à la réorganisation de son réseau et à la prolongation de ses concessions.
Comme d'autre part, le cahier des charges de la ligne Gennevilliers—Madeleine, modifié par l'avenant du 8 avril 1892 a fixé seulement un nombre minimum de courses à 60, entre Gennevilliers et le terminus de Paris, sans prévoir aucun service spécial entre Asnières, place Voltaire et la Madeleine, la Préfecture de Police se trouve désarmée vis à vis de la Compagnie.
Le Préfet avise qu'il ne continuera pas moins à faire surveiller de près par le service technique, le matériel roulant du dépôt d'Asnières et à exiger de la Compagnie qu'elle réduise au stricte minimum les inconvénients signalés par la Municipalité.
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Le 28 Xbre 1907, le Sous-Sécrétaire d'État à l'Intérieur écrit au Maire de Gennevilliers pour l'informer qu'il a obtenu pour lui la faculté de monter en surnombre dans les voitures de tramways qui desservent Gennevilliers et il est heureux de lui transmettre sa carte individuelle qui lui permettra cette faculté. Ces cartes permettront à leur titulaire de monter dans les voitures complètes, à destination de Paris, à partir de leur résidence officielle, ne leur donnant la même faculté au départ de Paris dans les mêmes conditions.
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Le 21 mars 1908, le Directeur de la Compagnie demande au Maire de Gennevilliers de lui fournir les noms et qualités des fonctionnaires municipaux autorisés à voyager gratuitement dans les voitures. Pour éviter les confusions dues au grand nombre de personnes voyageant dans ces conditions, l'administration de la Compagnie a décidé de remettre à chaque bénéficiaire de cette tolérance une carte personnelle qui devra être présentée au receveur en prenant place dans la voiture.
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Brouillon de liste avec les noms et qualités des fonctionnaires identifiés.
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Le 1er avril 1908, en réponse à la requête du Directeur de la Compagnie au sujet des bénéficiaires de trajet, le Maire expose qu'en dehors des cartes nominatives déjà délivrées, il n'y a que les agents communaux en tenue qui bénéficient de la gratuité du parcours à savoir : garde champêtre, inspecteur de la salubrité et Postes et Télégraphes, (barré).
Le Maire renvoie sa carte qu'il n'utilise pas et demande de l'adresser au nom d'un conseiller municipal de Gennevilliers.
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Brouillon non daté d'un Conseil municipal, lequel considérant que le nombre de voitures n'étant même pas pour assurer les besoins de la population et tout juste :
- considérant qu'il serait très urgent d'établir un service matinal et régulier à partir de 5 heures du matin ;
- considérant que rien ne justifie l'augmentation des tarifs actuels, ce en raison ??
- considérant qu'il est impossible d'accepter le déplacement du terminus de la porte de Clichy.
La  suite n'a pas été retrouvée.

Le 3 9bre 1908, brouillon des éléments de la délibération.
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Non daté, délibération du Conseil municipal de Gennevilliers renouvelant le vœu déjà émis, protestant contre le mauvais fonctionnement du service de tramway Madeleine—Gennevilliers : départs irréguliers, odeurs à l'intérieur des voitures et suppression des tramways partant à 23h40 de la Madeleine dit "tramway des théâtres".
Le Conseil décide qu'une copie de cette délibération sera adressée à la Compagnie et une autre au Conseiller général en le priant de protester au sein de cette assemblée.
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Le 27 novembre 1908, suite à la délibération du Conseil municipal de Gennevilliers en date du 3 novembre, le Directeur de la Compagnie de T.P.D.S. apporte les points suivants pour donner satisfaction dans la mesure du possible :
1. - rétablissement des trains de théâtre à partir du 1er décembre
2. - pour ne pas priver la Commune de Gennevilliers des communications, la Compagnie organisera un service de rabattage régulier aux heures où les encombrements de Paris et l'affluence des voyageurs entraînant des retards si considérables que les voitures arrivent à la place Voltaire (Asnières) souvent après l'heure à laquelle elles devraient partir de Gennevilliers.
Il termine en précisant que la Compagnie n'est pas toujours responsable de son exploitation et dans la mesure où cela est possible, elle cherche à en atténuer les inconvénients et à satisfaire le public.
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Le 9 décembre 1908, le Directeur des T.P.D.S. écrit au Maire de Gennevilliers suite à sa lettre du 6 décembre par laquelle il lui a fait parvenir le texte envoyé à M. le Préfet de Police à propos du service spécial de brouillard que la Compagnie assure sur la section Gennevilliers—Asnières.
Il n'est pas sans méconnaître la possibilité d'utiliser les garages de cette section pour permettre la mise en ligne de plusieurs voitures, mais il a pensé que la sécurité des voyageurs était assurée d'une manière plus efficace avec le système de navette, car il faut toujours tenir compte d'un moment d'inattention des agents ou de la difficulté qu'ils auraient dans le brouillard à reconnaître le garage obligatoire des croisements.
D'autre part les garages devant être observés dans cette circonstance d'une manière rigoureuse, il peut arriver qu'une voiture soit immobilisée pour une cause quelconque de sorte que la voiture de sens inverse attendant à son garage un temps indéterminé, les agents ignorant le motif de l'interruption du service, l'attente pour les voyageurs serait encore plus longue qu'avec un service unique.
C'est pour ces diverses raisons que les dispositions en vigueur ont été arrêtées depuis plusieurs années déjà. 
Il estime, en présence des catastrophes que la rencontre de deux trains pourrait avoir, que les habitants de Gennevilliers pour ne pas être exposés, pourraient continuer à supporter l'inconvénient, d'ailleurs assez rare, d'un service réduit.
Le Directeur donne dès à présent des instructions pour qu'en temps de brouillard, l'intervalle entre deux départs consécutifs ne dépasse pas 30 minutes.
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Le 22 décembre 1908, un habitant de Gennevilliers prie le Maire de convoquer la Commission de transports, (tramways) pour examiner quelle suite la Compagnie des tramways a donné à une circulaire qui lui a été adressée dernièrement concernant l'amélioration du service actuel.
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Le 24 décembre 1908,  le Préfet de Police écrit au Maire de Gennevilliers suite à ampliation d'une délibération en date du 3 novembre, par laquelle le Conseil municipal signale la fréquence et les irrégularités qui se produisent dans l'exploitation de la ligne de tramways Gennevilliers—Madeleine.
Il résulte de l'enquête à laquelle il a fait procéder par le Service du Contrôle des tramways que la régularité des services des lignes Gennevilliers—Madeleine et St Denis—Madeleine a été très souvent compromise pendant la période s'étendant du 22 octobre au 14 novembre dernier.
Cette défectuosité de service avait pour cause les travaux de réfection de la chaussée entrepris par la Ville de Paris, dans la partie de la rue de Rome compris entre la gare St Lazare et la rue de Vienne et qui avaient nécessité une exploitation en voie unique.
Dans ces conditions, de nombreux retards ont eu lieu dans la marche des trains, malgré toutes les précautions prises par la Compagnie pour diminuer dans toute la mesure du possible les attentes des voitures aux extrémités de la section de la voie unique.
D'autre part, des déraillements d'automotrices se sont produits à plusieurs reprises dans la bretelle de raccordement des voies à la gare St Lazare, occasionnant ainsi l'obstruction des deux voies ferrées et par suite l'arrêt complet du service pendant un certain temps entre la gare et la Madeleine.
Toutefois, ce sont là des cas de force majeure dont la responsabilité ne saurait incomber à la Compagnie.
D'ailleurs pour parer aux irrégularités du service de la ligne de Gennevilliers, cette dernière avait organisé sur l'invitation du Préfet, aux heures d'affluence de 4h à 8h du soir et indépendamment du service ordinaire, un service de navettes entre la place Voltaire à Asnières et le terminus de Gennevilliers.
Le Préfet ajoute qu'à partir du moment où le service en double voie a été rétabli, c'est à dire depuis le 15 novembre dernier, l'exploitation des lignes de Gennevilliers, de Colombes et de St Denis à la Madeleine s'effectue dans des conditions aussi satisfaisantes que possible.
En ce qui concerne le dégagement d'odeurs dans les voitures, il doit être attribué à l'état d'usure des appareils moteurs qui provoquent fréquemment en cours de route, des courts-circuits ou des avaries graves.
Le seul remède à cette situation consisterait dans le remplacement du matériel roulant actuel, mais la Compagnie déclare qu'elle ne saurait contracter une charge aussi onéreuse avant d'avoir obtenu la prolongation de sa concession.
En attendant que la réorganisation de son réseau soit résolue, le Préfet ne peut que continuer à surveiller de très près l'entretien de son matériel existant.
Dans le but de donner satisfaction à la Municipalité, la Compagnie a rétabli le 1er décembre courant, le train dit des théâtres sur la ligne de Gennevilliers à Madeleine.
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Le 23 janvier 1909, dans sa séance de Commission, celle-ci, considérant que la lettre du Préfet ne donne aucune satisfaction aux réclamations légitimes du Conseil, propose qu'il soit pris une nouvelle délibération à ce sujet, confirmant en tout point la délibération antérieure, laquelle délibération sera remise au Préfet de Police.
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Le 2 mars 1909, le Maire de Gennevilliers remercie le Préfet de son intervention auprès de la Compagnie et lui adresse copie d'une nouvelle délibération prise par le Conseil municipal se faisant l'écho des justes réclamations des habitants : Madeleine—Gennevilliers, odeurs indésirables, Colombes—St Ouen, service irrégulier.
Il lui demande qu'il fasse respecter les traités passés avec la Compagnie pour éviter les réclamations continuelles du public habitant l'extrémité du Département et dont les intérêts sont réellement lésés.
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Le 2 mars 1909, suite à de nouvelles plaintes concernant le service du tramway, le Maire de Gennevilliers a écrit au Directeur de la Compagnie. Ses réponses ont été communiquées à la Commission de voirie qui propose de protester à nouveau, attendu qu'il n'y a rien de changé à l'état de choses.
Le Conseil renouvelle les vœux plusieurs fois émis réclamant la régularité dans le service conformément aux traités.
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Le 16 mars 1909, le Préfet de Police répond au Maire de Gennevilliers au sujet de l'exploitation en temps de brouillard de la ligne Madeleine—Gennevilliers en deux tronçons distincts, l'un compris entre Gennevilliers et la place Voltaire à Asnières, l'autre entre cette dernière et la station Madeleine.
Il porte à sa connaissance que cette ligne comporte une voie unique entre le terminus de Gennevilliers et la place Voltaire et une voie double sur le reste de la ligne.
En temps de brouillard, la circulation des trains s'un terminus à l'autre ne pourrait par conséquent s'effectuer qu'en prescrivant un ou plusieurs points de croisements obligatoires des trains sur le parcours de la voie unique.
Or dans les circonstances signalées, les trains venant de Paris subissent inévitablement des retards considérables et l'attente à prévoir dans les garages augmenterait encore ces retards. Il en résulterait une perturbation désastreuse dans la marche des trains entre la place Voltaire et Paris sans aucun bénéfice pour les habitants de Gennevilliers.
Au contraire le service de navette organisé en temps de brouillard comporte un départ toute les demi-heures dans chaque sens et les voyageurs de Gennevilliers peuvent se rendre sûrement en 20 ou 25 minutes à la place Voltaire à Asnières où une correspondance est prévue avec les trains à destination de la Madeleine.
Toutefois, sur l'intervention du Préfet, la Compagnie a accepté de remplacer ce service de navette à une voiture par un service à deux voitures, avec croisement obligatoire au garage du cimetière de manière à assurer un horaire au 1/4 d'heure entre Gennevilliers et la place Voltaire.
Les dispositions ainsi prises par la Compagnie pour assurer le service en temps de brouillard semblent répondre dans toute la mesure du possible aux intérêts de la masse des voyageurs en même temps qu'elles sauvegardent la sécurité publique.
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Le 26 avril 1909, suite à la lettre du Maire de Gennevilliers en date du 3 mars dernier au sujet de l'irrégularité de la ligne St Ouen—Colombes et du dégagement de vapeur acides2 à l'intérieur des voitures de Madeleine—Gennevilliers et pour donner suite à cette affaire, il demande la délibération mentionnée mais non transmise.
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ligne39p_0358a.jpg (38705 octets)Le 6 juin 1909, le petit Journal relate un accident émouvant. En montant à l'impériale d'un tramway, un père tombe avec son bébé qu'il tenait dans ses bras.
On voit ici une motrice type "Gennevilliers" de la ligne Madeleine—Gennevilliers.
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Le 21 juin 1909, brouillon d'un projet de délibération du Conseil municipal de Gennevilliers au sujet du droit de stationnement des tramways.
Le Maire dans la séance du 9 7bre 1919 a demandé de prendre des renseignements auprès des communes voisines. 
Dans le projet le Conseil ne demanderait pas de droit de stationnement. Il insiste pour l'observation rigoureuse du nouveau cahier des charges.
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ligne39p_0505.jpg (215489 octets)ligne39p_0506.jpg (151926 octets)Le 21 juin 1909, le Sénateur, Préfet de la Seine informe le Maire de Gennevilliers des nouvelles dispositions concernant la réorganisation des réseaux de Tramways de Paris et du Département de la Seine (T.P.D.S.) et dont une de ces dispositions est pour les communes le droit à percevoir une taxe pour le stationnement au terminus ainsi que les redevances à raison de l'occupation des voies publiques par des abris et des bureaux.
Il est rappeler par ailleurs que les clauses du cahier des charge élaboré par le Conseil général en vue de la réorganisation sont inspirées par le souci d'assurer tant au public qu'au personnel des compagnies de tramways la plus grande somme possible d'avantages.
Il résulte de cette situation qu'en ajoutant aux charges qui vont peser sur les Compagnies des redevances importantes, on risquerait de compromettre l'économie financière de la réorganisation des entreprises de tramways.
Il est donc indispensable que les compagnies, en acceptant les charges que leur impose la réorganisation, aient l'assurance que ces charges constituent un maximum qui ne saurait être dépassé
Il y a donc lieu de procéder, dès maintenant, avant la signature par les compagnies des nouvelles conventions au règlement de cette question en invitant les communes à passer avec les compagnies desservant leur territoire, des contrats particuliers valables pour la durée de la concession et fixant les droits à percevoir par les communes pour le stationnement des voitures de tramways sur le domaine public communal, et les redevances pour les abris ou installations de barrières mobiles.
Dans l'esprit du Préfet, ces taxes doivent être purement nominales, c'est à dire d'un franc par an pour chaque voiture effectuant un service régulier, et d'un franc par an pour chaque abri ou installation de barrière mobile. Il ne serait perçu aucun droit pour les voitures de stationnement effectuant un service supplémentaire. 
Il est à considérer que les abris et les barrières sont faits dans l'intérêt du public.
Enfin il est à remarquer que la plus part des sections de lignes de tramway desservant la banlieue sont déficitaires et que dans ces conditions, les communes ne seraient pas fondées à vouloir tirer profit des services onéreux que ces compagnies rendent à leurs habitants.
Concernant les bureaux qui seraient installés sur le domaine public il est juste d'observer qu'ils servent autant au public qu'aux compagnies et que la faculté qui leur est accordée d'installer leurs bureaux sur les dépendances de la voie publique les décharge des frais de location souvent coûteux qu'elles seraient obligées de supporter si elles avaient dû s'installer en boutique.
Toutes ces questions doivent être réglées entre les communes et les compagnies dans le plus bref délai.
Le Préfet, avec la présente, adresse le modèle de convention que la chaque commune doit passer avec la compagnie qui dessert son territoire. Cette convention doit être soumise au Conseil municipal puis retourner au Préfet revêtue des signatures du Maire et du représentant de la Compagnie.
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)Le 2 septembre 1909, brouillon de note du Conseil municipal de Gennevilliers dans lequel la Commission invite le Maire à se renseigner auprès des communes voisines et même de l'Union amicale des Maires.
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Le 22 7bre 1909, le Maire de Gennevilliers demande à son collègue de Colombes de lui adresser d'une délibération relative à la taxe à réclamer à la Compagnie de tramways.
 Réponse question non encore délibérée.
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Le 22 7bre 1909, Idem au Maire de Clichy.
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Le 24 septembre 1909, le projet de convention entre la Commune et la Compagnie de tramways élaborée par le Conseil général et à retourner signée par les parties au Préfet de la Seine.
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ligne39p_0484.jpg (180763 octets)Le 4 novembre 1909, le Maire de Clichy écrit au Directeur de la Compagnie pour lui dire qu'à plusieurs reprises, la Municipalité a attiré son attention sur les réclamations multiples provoquées par le fonctionnement défectueux des lignes de tramways, et, ces temps derniers encore, le Conseil municipal lui renvoyait un vœu tendant à l'installation d'appareils distributeurs de billets d'ordre sur différents points du parcours dans la traversée de Clichy où les voitures s'arrêtent, afin d'éviter les bousculades auxquelles, aux heures d'affluence, se trouvent exposés les voyageurs et principalement les femmes et les enfants.
En suite du desiderata exprimé par le Conseil municipal, le Directeur a fait connaître par lettre du 10 juillet écoulé que l'essai tenté à cet effet par la Compagnie a dû être abandonné en raison des déprédations commises par des gamins à l'appareil posé à l'arrêt situé, face à la Mairie et il ajoute que l'exploitation actuelle doit donner entière satisfaction aux voyageurs.
Le Maire lui fait remarquer que cette Assemblée, à qui il a donné connaissance de cette communication, s'est élevée formellement contre cette prétention et lui a chargé de rappeler les protestations unanimes contre la manière dont sont exploitées les lignes de la Compagnie qui visiblement ne fait aucun effort pour desservir utilement les populations intéressées et se conformer à l'horaire qui lui est assigné.
 C'est ainsi qu'à certaines heures de la journée, l'irrégularité des passages est telle que parfois l'attente aux stations se prolonge pendant 3/4 d'heures et il est vrai que par compensation, il arrive 3 ou 4 voitures qui filent à la suite, l'une poussant l'autre, car sur quatre véhicules sortis de dépôt, il en est toujours un au moins impuissant à se remorquer par ses propres éléments.
Ces faits se produisent à toute heure de la journée et mardi 2 du courant à 1h1/2 plusieurs voyageurs dont un, le Maire a attendu pendant une 1/2 heure l'arrivée d'un tramway et en avoir ensuite deux à sa disposition.
En outre les vapeurs dégagées par les batteries d'accumulateurs incommodent les voyageurs à tel point qu'ils sont tenus de se réfugier sur la plate-forme ou d'établir des courants d'air à l'intérieur, heureux quand ils ne doivent pas évacuer la voiture qui est alors dirigée vers le dépôt.
Faut-il aussi signaler que inétanchéité des voitures oblige les voyageurs à ouvrir les parapluies à l'intérieur pour se garantir de la pluie qui fâcheusement les arrose ?
Enfin, cet état de chose lamentable a sa répercussion jusque dans les relations entre des voyageurs avec le personnel, qui dans le désarroi dont il n'est pas responsable, subit un surcroît de besogne et se retrouve quelquefois malmené par le public qu'il néglige.
Dans le cadre de la réorganisation, le Maire confirme qu'il emploiera tous ses efforts à contraindre la compagnie (en lisse) à réaliser une exploitation plus favorable aux intérêts de la laborieuse population de Clichy et il insiste pour que la Compagnie se préoccupe de donner dans la plus large mesure satisfaction aux Voyageurs.
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Le 28 novembre 1909, le Maire de Gennevilliers donne lecture de la lettre du Maire de Clichy adressée au Directeur de la Compagnie au Conseil municipal.
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Notes :
  • 1 La Commune de Villeneuve-la-Garenne a été créée en 1929, précédemment c'était un quartier de Gennevilliers au même titre que les Grésillons.
  • 2 En 1909 les motrice type "Gennevilliers" issues de celles du type "Aubervilliers" étaient à accumulateurs, rechargés à chaque terminus sur des bornes installées sur le trottoir à cet effet. Il existait deux systèmes de batteries : à charge lente et à charge rapide. C'est de ce dernier type dont étaient équipées le motrice type "Aubervilliers". Les batteries étaient suspendues sous la caisse entre les bogies et comprenaient 224 éléments S.T.E.M. montés en série. La charge se faisait sur la partie banlieue (au-delà des fortifications) par fil trolley. L'inconvénient de ce type de charge rapide, c'est le bouillonnement des accumulateurs qui dégageait des vapeur acides et incommodait les voyageurs.
    Les motrices type Gennevilliers" étaient à charge lente et à chaque terminus, la motrice devait rentrer au dépôt d'Asnières pour recharger ses accumulateurs. En fait on remplaçait le groupe d'accus déchargés par un neuf à l'aide de plateau mobile latéralement ce qui se faisait en un moindre temps. Bien qu'elles aient été à charge lente, ces motrices type Gennevilliers" incommodaient les voyageurs par des dégagements de vapeur acide comme l'attestent les nombreuses plaintes déposées auprès du Maire de Gennevilliers.

Sources et remerciements :

  • Les tramways parisiens 2è Édition - Jean Robert - 1959.
  • Cent ans de transports en commun dans la Région Parisienne Tomes 1 à 4 - Louis Lagarrigue - 1956 
  • Archives municipales de Levallois-Perret
  • Archives municipales d'Asnières
  • Archives municipales de Gennevilliers
  • Archives municipales d'Argenteuil
  • Mairie de Villeneuve-la-Garenne, Service Archives-Documentation
  • Archives de la RATP

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