Les chiffres correspondent aux prises de vue.
Le carnet du CFC
Beaumartin S.A. usine d'imprégnation de poteaux - Langogne (Lozère)
Marc André Dubout
En 2000 à l'occasion d'un passage en Lozère je m'étais rendu
à l'entreprise Armand Beaumartin à Langogne pour visiter l'usine
d'imprégnation de poteaux voir l'article Langogne.
et celui À propos de la créosote.
Cet été j'ai eu l'occasion de revoir le site qui semble-t-il 16 ans après n'a
pas changé du moins pour le visiteur que je suis. Il est possible que les
mesures d'écologie ont du avoir une influence sur l'utilisation de
l'imprégnation des poteaux.
J'ai donc eu l'occasion de faire une série de photos dont en voici
quelques-unes.
Pour mémoire rappelons que le site comprend deux réseaux distincts imbriquée en VN et en V60
Les chiffres correspondent aux prises de vue.
Cette fois, je n'ai pas revu les deux Plymouth qui servent à la manutention
des wagons. L'usine est embranchée sur la voie unique de la ligne Langogne—Le
Puy aujourd'hui abandonnée et dont on peut encore apercevoir le pont enjambant
l'Allier.
1
Vue générale de l'aire d'entreposage des poteaux avec les VN et V60 en parallèle.
Noter l'excellente tenue de la voie bien armée pour la V60.
2 
Les wagons à bogies qui supportent les wagonnets à rancher. Lorsque les wagons
sont mis bout à bout le chemin de roulement (en V60) forme une continuité qui
permet le roulement des ranchers.
Noter sur la photo de droite le taquet d'arrêt du dernier ranchers et l'éclisse
prête à recevoir le rail opposé de l'autre wagon pour assurer la continuité
du chemin de roulement.
3
Vues vers le chantier d'imprégnation et ses bâtiments
Un wagon chargé de poteaux prêts à passer dans la cornue.
La bascule sur la V60.
Réservoirs sous pression dont les viroles sont rivetées à l'ancienne.
4
Une des trois grues qui sert à la fois à la manutention des wagons VN et celle
des poteaux.
3
Sur une voie de débord, un wagonnet ex. benne basculante de marque Mallet.
Par respect, je n'ai pas osé m'introduire plus avant dans l'usine c'était un
jour ouvrable et des voitures étaient présentes sur le site.
Une certitude, ce site industriel est un des derniers à utiliser la voie de 60
dont le matériel est dans un état impeccable.